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Manifestations et conséquences des séismes (activité)

Max : « Bonjour à tous ! Enlevez vos blousons, asseyez-vous et sortez vos affaires. »

Samuel et Léo : « Bonjour monsieur Max ! »

Max : « Bonjour mes petits. Nous allons donc commencer par de la géologie. Qui veut me rappeler ce qu’est la géologie ? »

Samuel : « Moi monsieur Max ! Ce sont les sciences de la Terre. Dans la géologie il y a l’étude des tremblements de terre, les volcans, la tectonique des plaques… »

Léo : « On peut étudier les roches et les minéraux aussi ! »

Max : « Exact Léo. Mais le programme de cette année correspond à ce qu’a dit Samuel. Commençons par les séismes. Savez-vous ce qu’est un séisme ? »

Léo : « C’est un tremblement de terre monsieur Max ! »

Max : « En étant précis tremblement de terre et séisme ne sont pas strictement synonymes. Mais ne soyons pas trop précis pour une fois. Oui, un séisme est un tremblement de terre. Commençons par regarder quelques petits films… »

Tremblement de terre, 27 Avril 2015, Katmandu, Népal

Tremblement de terre, 27 Avril 2015, Katmandu, Népal

Le séisme de Kobé, 17 Janvier 1995, Japon

Léo : « Rholala ! C’est impressionnant ! »

Samuel : « J’aimerais pas être dans un tremblement de terre moi. »

MAx : « Je te comprends Samuel, même si une partie de moi aimerait quand même savoir ce que ça fait… Bien, je vais vous distribuer quelques articles de journaux chacun et grâce à cela vous me direz quelles sont les manifestations et les conséquences d’un séisme. »

Samuel : « Monsieur Max, que veut dire ‘manifestations d’un séisme‘ ? »

Max : « A quoi voit-on qu’un séisme a lieu. Je distribue… Les articles de Léo… »

Max : « Les articles de Samuel… »

Max : « Je répète les questions auxquelles vous devez répondre à l’aide de ces articles : Quelles sont les manifestations et les conséquences d’un séisme ? Vous avez une dizaine de minute… »

Dix minutes plus tard…

Max : « Alors mes petits, avez-vous réussi à répondre aux questions ? »

Samuel et Léo : « Oui monsieur Max ! »

Max : « Je n’en attendais pas moins de vous. Léo, quelles sont les manifestations d’un séisme ? »

Léo : « C’est simple monsieur Max. Lors d’un séisme la terre tremble. Il y a des secousses qui durent de quelques secondes à quelques minutes. Et si j’ai bien compris ces secousses se produisent dans des régions plus ou moins étendues. »

Max : « Oui Léo. Samuel, as-tu quelque chose à ajouter ? »

Samuel : « Je ne sais pas si c’est le moment de le dire mais il peut y avoir des répliques. Ce sont d’autres tremblements de terre qui se produisent au même endroit pas très longtemps après le premier. »

Max : « Nous pouvons parler des répliques dès à présent. Samuel, quelles sont les conséquences possibles d’un séisme ? »

Samuel : « Il peut y avoir des dégâts aux constructions qui provoquent parfois des blessés ou des morts et des sans-abris parce que leurs maisons sont cassées. »

Léo : « J’ai lu qu’il pouvait y avoir des failles aussi. C’est quoi une faille monsieur Max ? »

Max : « Gardons la question pour plus tard si vous le voulez bien. Je vous montrerai des photographies et nous étudierons ça plus précisément. Pour le moment, retenez qu’il peut y avoir des modifications du paysage. »

Léo : « D’accord monsieur Max. »

Samuel : « Moi j’ai lu que les séismes pouvaient provoquer des tsunamis. Qu’est-ce qu’un tsunami monsieur Max ? »

Max : « Tsunami est un mot japonais qui veut dire ‘vague de port‘. En mer les pécheurs ne ressentent pas le tsunami et ils sont bien surpris de voir que le port dans lequel ils veulent accoster est parfois totalement détruit. Je peux vous montrer un petit film pour que vous compreniez qu’un tsunami est plus qu’une simple vague. Regardez sagement. »

Le tsunami du 24 décembre 2004

Léo : « Oulala ! C’est dangereux un tsunami ! »

Samuel : « C’est sûr que c’est plus qu’une vague ! »

Max : « Oui, c’est très dangereux. Avant de partir, Léo peux-tu redonner les manifestations des séismes ? »

Léo : « Lors d’un séisme la terre tremble. Il y a des secousses qui durent de quelques secondes à quelques minutes. Ces secousses se produisent dans des régions plus ou moins étendues. »

Max : « Samuel, les conséquences possibles s’il te plaît. »

Samuel : « Les conséquences possibles d’un tremblement de terre sont des dégâts aux constructions humaines, des blessés et/ou des morts et des sans-abris, des modifications du paysage et des tsunamis. »

Max : « C’est très bien 🙂 Retenez bien tout ça pour la prochaine fois. Pour le moment, vous pouvez ranger vos affaires et sortir en récréation. Je compte sur vous pour ne pas provoquer un tremblement de terre en courant dans les couloirs. »

Samuel et Léo :  » 🙂 Au revoir monsieur Max. »

Max : « Au revoir mes petits. »

Séance suivante

La cellule

Max : « Bonjour à tous ! Enlevez vos blousons, asseyez vous et sortez vos affaires. Lors de la dernière séance vous avez pu observer des cellules au microscope optique. »

Léo : « Oh oui ! »

Samuel : « C’était bien ! »

Max : « Je suis ravi que cela vous ait plu 🙂 Aujourd’hui nous  allons voir différents type de cellules. Commençons par les cellules d’épiderme d’oignon que vous avez vous même observées. »

Figure 1 – Photographie de cellules d’épiderme d’oignon observé au microscope optique.

Max : « Que voyez-vous ? »

Léo : « Nous voyons que l’épiderme d’oignon est constitué de nombreuses cellules allongées.

Samuel : « Chaque cellule contient un liquide appelé cytoplasme et un noyau. L’ensemble est délimité par une membrane. »

Max : « Très bien. N’oubliez pas qu’il existe une paroi autour des cellules végétale. Passons à un autre type de cellules végétales. Ce sont des cellules de feuilles d’élodées du Canada (Elodea canadensis, Mchx., 1803).

Figure 2 – Photographie de cellules d’élodée du Canada observées au microscope.

Léo : « Nous voyons des petits grains verts dans les cellules. »

Max : « Ce sont des chloroplastes. Nous verrons l’an prochain à quoi ils servent. Passons aux animaux. Voici des cellules de la bouche humaines… »

Figure 3 – Photographie de cellules d’épiderme buccal observées au microscope optique.

Léo : « On voit la membrane, le noyau et le cytoplasme. »

Max : « Exact Léo. Autre exemple : l’épiderme de grenouille… »

Figure 4 – Photographie de cellules d’épiderme de grenouille observées au microscope.

Samuel : « Encore membrane, cytoplasme et noyau ! »

Léo : « Et il y a de nombreuses cellules. »

Max : « Et oui ! Passons à un autre exemple. Vous allez voir une paramécie (Paramecium sp., Müller, 1773). C’est un animal unicellulaire qui vit dans les eaux douces des mares ou des rivières. Cet animal microscopique se déplace grâce à des cils vibratils. Regardez un peu… »

Figure 5 – Une paramécie observée au microscope optique.

Léo : « Cette fois il n’y a qu’une seule cellule. »

Samuel : « Mais on voit le noyau, le cytoplasme et la membrane. »

Max : « Très bien. Dernier exemple… »

Max : « Il s’agit d’une bactérie. »

Léo : « On ne voit pas de noyau ! »

Samuel : « Mais il y a quand même le cytoplasme et la membrane. »

Max : « Exact. Bien, essayons de reprendre. Qu’avez-vous retenu de ces différents exemples de cellules ? »

Samuel : « Nous pouvons dire que tous les êtres vivants sont constitués d’au moins une cellule. »

Léo : « Une cellule contient un cytoplasme et est délimitée par une membrane. Il peut y avoir un noyau. »

Samuel : « Chez les végétaux il y a aussi une paroi et des chloroplastes. »

Max : « C’est très bien. Nous allons noter tout ça la prochaine fois et je vous apprendrai à réaliser un dessin d’observation et à le légender. Pour le moment vous pouvez ranger vos affaires. »

Samuel et Léo : « Au revoir monsieur Max ! »

Max : « Au revoir mes petits. »

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Identifier une espèce

Max : « Bonjour à tous ! Enlevez vos blousons, asseyez vous et sortez vos affaires. Vous êtes tous là ? Alors commençons… Samuel, pourrais-tu faire le petit rappel de début de cours habituel ? »

Samuel : « Oui monsieur Max. Nous avons vu qu’une espèce est un groupe d’individus qui se ressemblent et qui peuvent avoir une descendance féconde. Nous avons également vu que chaque espèce a un nom qu’elle a reçu lors de sa première description. C’est monsieur Linné qui a imposé cette nomenclature binominale au 18ème siècle. »

Max : « C’est très bien Samuel, comme d’habitude ! »

Léo : « Monsieur Max, puis-je poser une question ? »

Max : « Bien sûr Léo. Je suis là pour y répondre. »

Léo : « Monsieur Max, comment fait-on pour identifier une espèce qu’on rencontre pour la première fois ? »

Max : « Encore une excellente question ! »

Léo : « Merci monsieur Max 🙂 »

Max : « Pour trouver le nom d’un être vivant et identifier l’espèce à laquelle il appartient, on utilise une clé de détermination qui s’appuie sur des caractères observables tels que la couleur, la taille, la forme… Je vais vous montrer comment utiliser cet outil avec deux exemples puis je vous donnerai une feuille d’exercice. Commençons pas ces punaises. »

Ces trois espèces de punaises rouges et noires peuvent s’observer dans notre département. Elles participent à la biodiversité de notre environnement.

Max : « Voici la clé de détermination… »

Max : « Il suffit de suivre le chemin… Prenons la première punaise, celle de gauche…

C’est une punaise rouge et noire. Elle a des rayures noires en long sur tout le corps. C’est donc le graphosome d’Italie (Graphosome lineatum, L., 1758).

Celle du centre… C’est une punaise rouge et noire. Elle a des tâches noires sur le corps. Il y a une grande tâche noire sur le thorax. C’est le gendarme (Pyrrochoris apterus, L., 1758)

Celle de droite… C’est une punaise rouge et noire. Elle a des tâches noires sur le corps. Le thorax porte plusieurs tâches noires. C’est la punaise ornée (Eurydema ornata, L., 1758).

Avez-vous compris ? »

Léo : « Oui monsieur Max ! »

Samuel : « Mais, en vrai, il faut une clé plus compliquée que ça ! »

Max : « Effectivement Samuel. Mais le principe en serait le même. Voulez-vous que je fasse un autre exemple ? »

Léo : « Oui monsieur Max. »

Max : « D’après cette clé de détermination nous pouvons dire que les dauphins se distinguent des marsouins par leur mâchoires allongées en bec. Les trois animaux représentés ont une mâchoire allongée en bec. Ce sont donc des dauphins.

a. Dauphin ; dos et les flancs unis ; dos et les flancs sont gris. C’est un dauphin souffleur.

b. Dauphin ; dos et les flancs finement tachetés. C’est un dauphin tacheté.

c. Dauphin ; dos et les flancs unis ; dos  noir et les flancs  jaunes. C’est un dauphin des anciens.

Voilà pour les exemples. A vous de travailler maintenant. »

Utiliser-une-clé-de-détermination

Léo : « Monsieur Max, nous avons terminé ! »

Max : « Et je suis sûr que vous avez bon. Je préciserai juste que la mésange inconnue est la mésange noire. Bien, vous pouvez ranger vos affaires. Et n’oubliez pas de réviser. »

La correction est ici : la correction.

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Des petits exercices

Max : « Pour voir si vous avez bien compris ce qu’est une espèce, vous allez faire quelques petits exercices. Je vous conseille de bien revoir la définition d’espèce et les exemples qui ont été faits en classe. »

Espèces-Exercices

Des escargots…

Escargot de Bourgogne Escargots petit-gris

Un escargot de Bourgogne ne s’accouple qu’avec un escargot de Bourgogne, jamais avec un escargot petit-gris. Cet accouplement donne naissance à d’autres escargots de Bourgogne qui pourront se reproduire entre eux.

Les escargots petits-gris et les escargots de Bourgogne appartiennent-ils à la même espèce ?

Des chênes

Dans une forêt, on peut trouver des chênes qui se distinguent les uns des autres par un détail : la longueur du pédoncule qui attache le gland à la branche. Malgré cette proximité ces deux chênes ne se reproduisent jamais entre eux.

Expliquez pourquoi, malgré leur ressemblance, des deux chênes n’appartiennent pas à la même espèce.

Le jaglion, un drôle d’animal…

Un jaglion

Le « jaglion » est ainsi nommé car il a pour père un jaguar et pour mère une lionne. La morphologie du jaglion est intermédiaire entre celle d’un jaguar et celle d’un lion.. La queue est identique à celle d’un lion mais il n’a pas de crinière. Son pelage est tacheté comme celui du jaguar. C’est un hybride peu fréquent, qui est le résultat d’une rencontre due à l’intervention de l’Homme dans un parc animalier.

Le jaglion ne peut pas s’observer dans la nature. En effet, je jaguar vit uniquement en Amérique du sud alors que les lions ne sont présents qu’en Afrique.

Le lion et le jaguar appartiennent-ils à la même espèce ? 

Des escargots…

Les escargots petits-gris et de Bourgogne se ressemblent mais ils ne peuvent pas se reproduire entre eux. Ils n’appartiennent donc pas à la même espèce.

Des chênes…

Les chênes sessiles et les chênes pédonculés se ressemblent mais ils ne peuvent pas se reproduire entre eux. Ils n’appartiennent donc pas à la même espèce.

Le jaglion, un drôle d’animal…

Le jaguar et le lion se ressemblent. L’accouplement d’une lionne et d’un jaguar donne une descendance mais cette descendance est stérile. Le lion et le jaguar appartiennent donc à deux espèces différentes.

Un exercice bonus 🙂

Il existe de nombreuses espèces de coccinelles. Elles se caractérisent par la couleur des élytres et le nombre et la couleur des tâches. Et oui ! Le nombre de points n’indique pas l’âge de la coccinelle 🙂

Voici deux coccinelles apparemment différentes.

Ces deux coccinelles peuvent se reproduire et avoir une descendance féconde.

Appartiennent-elles à la même espèce ?

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Les caractéristiques physiques de l’environnement

Max : « Bonjour à tous ! Enlevez vos blousons, asseyez vous et sortez vos affaires. Tout le monde est là, nous pouvons commencer. Élève Léo, pourriez-vous nous rappeler ce qu’est l’environnement. »

Léo : « Oui monsieur Max. L’environnement c’est tout ce qui nous entoure. Alors ça dépend de l’endroit où on se trouve. Ça peut être la plage, la forêt, le collège… »

Max : « Bien Léo. Peux-tu me dire quelles sont les composantes d’un environnement ? »

Léo : « Il y a les composantes minérales (eau, air et roches), les êtres vivants et les objets techniques. Dois-je donner la définition d’objet technique monsieur Max ? »

Max : « Oui Léo. »

Léo : « Un objet technique est un objet réalisé par un animal pour répondre à un besoin. Comme exemples je peux citer les toiles d’araignées, les barrages des castors, les terriers et les nids. »

Max : « Très bien. Je vois que tu as bien appris ta leçon. Élève Samuel, pouvez-vous nous rappeler ce que fait un être vivant que ne fait pas une composante minérale de l’environnement ? »

Samuel : « Oui monsieur Max. Un être vivant naît, respire, se nourrit, grandit, se reproduit et meurt. »

Max : « Bien Samuel. De quel type de matière sont constitués les êtres vivants ? Et les composantes minérales ? »

Samuel : « Les êtres vivants sont constitués de matière organique. La matière organique brûle si on la chauffe fort. Les composantes minérales sont constituées de matière minérale. La matière minérale change d’état si on la chauffe. Elle peut passer à l’état liquide ou à l’état solide. »

Max : « Vous connaissez bien vos leçons. Bravo à tous les deux. Nous pouvons finir notre présentation de l’environnement. Imaginons-nous à la plage. Fermez les yeux. Pouvez-vous me dire ce qui va changer au cours de l’année ? »

Léo : « Moi ! Moi monsieur Max ! »

Max : « Nous t’écoutons Léo. »

Léo : « En hiver il va faire plus froid qu’en été. »

Max : « C’est vrai. Mais comment sais-tu qu’il fait plus froid ? Que mesures-tu pour le savoir ? »

Léo : « Il faut mesurer la température monsieur Max. »

Max : « Et avec quel appareil mesures-tu la température ? »

Léo : « On mesure la température avec un thermomètre. »

Max : « Très bien. Maintenant pouvez-vous me dire avec quelle unité s’exprime la température ? »

Léo : « Elle s’exprime en degrés ! »

Max : « Non Léo. Le degré est l’unité de la mesure d’un angle. Samuel, le sais-tu ? »

Samuel : « La température s’exprime en degrés Celsius monsieur Max. Ça se note °C. »

Max : « Très bien Samuel. Nous venons de voir que la température se mesure avec un thermomètre et s’exprime en degrés Celsius. Effectivement, la température change au cours de l’année. Y a-t-il d’autres changements ? »

Samuel : « Oui monsieur Max. L’humidité change elle aussi. »

Léo : « Et la lumière ! Il y a pas toujours la même lumière. »

Max : « Je comprends ce que tu veux dire Léo mais il ne faut pas parler de lumière. On parle d’éclairement. Je vais maintenant vous donner un petit exercice. Grâce au document que je vais distribuer vous compléterez un tableau de trois colonnes dans lequel vous indiquerez les grandeurs mesurées, les appareils utilisés pour les mesurer et les unités de mesure. Avez-vous compris ? »

Léo et Samuel : « Oui monsieur Max. »Samuel : « Monsieur Max, j’ai fini ! »

Max : « Tu peux aller faire la correction au tableau.

Samuel : « Oui monsieur Max, j’y vais de ce pas. »

Max : « Très bien Samuel ! Mes petits, vous venez de découvrir les caractéristiques physiques de l’environnement. »

Léo : « Monsieur, pourriez-vous en donner la définition s’il vous plaît ? »

Max : « Bien sûr Léo. et nous la noterons tout à l’heure dans le cours. Une caractéristique physique de l’environnement est une grandeur qui se mesure avec un appareil de mesure et qui s’exprime avec une unité.« 

Léo : « Merci monsieur Max. »

Max : « Si vous n’avez pas de questions nous pouvons noter la leçon du jour… Pas de question ? Très bien. Sortez vos cahiers nous allons noter. »

III. LES CARACTÉRISTIQUES PHYSIQUES DE L’ENVIRONNEMENT.

Une caractéristique physique de l’environnement est une grandeur qui se mesure avec un appareil et qui s’exprime souvent avec une unité de mesure.

Température = 17 °C

Grandeur Valeur Unité

Les principales caractéristiques physiques de l’environnement sont : la température, l’humidité et l’éclairement.

Les caractéristiques physiques de l’environnement dépendent du temps et du lieu.

Max : « Avez-vous des questions ? »

Léo : « Non monsieur Max. »

Max : « Alors vous pouvez ranger vos affaires. Le cours est terminé. N’oubliez pas de bien apprendre vos leçons pour la prochaine fois.« 

Caractéristiques physiques

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Le vivant et le non-vivant

Max : « Bonjour à tous. Enlevez vos blousons, asseyez vous et sortez vos affaires. Je vois que vous êtes tous là. Nous pouvons commencer. Quelqu’un pourrait-il nous rappeler ce que nous avons vu lors de la séance précédente ? »

Samuel : « Moi monsieur Max ! »

Max : « Nous t’écoutons Samuel. »

Samuel : « Dans un environnement il y a des composantes minérales, des êtres vivants et des objets techniques. »

Max : « C’est bien Samuel. Léo, qu’est ce qu’un objet technique ? »

Léo : « Un objet technique est un objet fabriqué par un animal pour répondre à un besoin. Je peux donner comme exemples les nids des oiseaux, les toiles d’araignées, les terriers, les barrages des castors… »

Max : « Je vois que vous avez bien appris vos leçons. Aujourd’hui nous allons nous demander : comment distinguer le vivant du non-vivant ? Que pouvez-vous répondre à cette question ? »

Léo : « Les êtres vivants respirent ! »

Samuel  : « Ils mangent. »

Max : « Nous dirons plutôt qu’ils se nourrissent. Quoi d’autres ? »

Léo : « Ils bougent. »

Max : « Léo, as-tu déjà vu l’arbre qui se trouve dans la cour se déplacer ? »

Léo : « Ses branches bougent monsieur Max. »

Max : « Elles bougent sous l’influence du vent. Elles ne se déplacent pas. Vous avez dit : ils respirent et se nourrissent. Il vous manque quatre verbes. Pensez au début et à la fin de leur vie. »

Léo : « Ils naissent et ils meurent ! »

Max : « Très bien. Quoi d’autre ? »

Samuel : « Ils grandissent. »

Max : « Il vous en manque un. »

Léo : « Les êtres vivants se reproduisent. »

Max : « Très bien ! Nous pouvons dire qu’un être vivant naît, se nourrit, respire, grandit, se reproduit et meurt.« 

Léo : « Mais monsieur, une plume ça vient d’un être vivant et ça ne fait pas tout ça ! »

Samuel : « Une feuille morte non plus. »

Léo : « Comment pouvons nous distinguer un objet qui vient d’un être vivant d’une composante minérale de l’environnement ?« 

Max : « Très bonne question Léo. Essayons d’y répondre. Que se passe t-il si nous approchons une plume d’une flamme ? »

Léo : « Elle brûle ! »

Samuel : « La branche aussi ! »

Max : « Et il ne restera que des cendres. Très bien. Approchons maintenant une composante minérale d’une flamme. Un caillou par exemple. Que se passe t-il ? »

Samuel : « Il s’échauffe. »

Max : « Et si nous le chauffons très fort ? »

Léo : « Il va fondre ? »

Max : « Oui Léo. Il va fondre. Essayons avec de l’eau maintenant. »

Samuel : « Elle va s’échauffer et si on la chauffe fort elle va s’évaporer. »

Max : « Très bien. Nous pouvons donc dire que la matière des êtres vivants brûle alors que la matière des composantes minérales change d’état quand on la chauffe.« 

Léo : « Monsieur Max, j’ai une question ! »

Max : « Je t’écoute Léo. »

Léo : « Si j’approche une flamme de mon cahier, il brûle. Pourtant il n’est pas vivant et il l’a jamais été. »

Max : « Bonne remarque Léo. Ton cahier est constitué de papier. Or le papier est fabriqué avec du bois et le bois a été formé par un être vivant. Tout ce qui est constitué de matière formée par un être vivant brûle. »

Samuel : « Monsieur Max, le plastique brûle lui aussi. Il a été vivant avant ? »

Max : « Pour fabriquer du plastique on utilise de la matière qui a été formée par un être vivant. On appelle matière organique la matière qui a été formée par un être vivant et matière minérale la matière qui constitue les composantes minérales. La matière organique brûle alors que la matière minérale change d’état. Avez-vous des questions ? « 

Léo : « Non monsieur Max. »

Samuel : « Moi non plus. »

Max : « Alors prenez vos cahier nous allons écrire la leçon du jour. »

II. LE VIVANT ET LE NON VIVANT.

Les êtres vivants naissent, respirent, se nourrissent, grandissent, se reproduisent et meurent.

Pour distinguer le vivant du non-vivant, on peut chauffer.

Un être vivant et de la matière venant d’un être vivant, brûle quand on les chauffe.

Une composante minérale, ou de la matière minérale, change d’état quand on la chauffe.

Matière minérale : La matière minérale vient des composantes minérales. Elle change d’état.

Matière organique : La matière organique vient d’êtres vivants. Elle brûle.

 

Max : « Avez-vous des questions ? »

Samuel : « Non monsieur Max. »

Max : « Alors vous pouvez ranger vos affaires. N’oubliez pas d’apprendre vos leçons pour la prochaine séance. »

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Rejeter du dioxyde de carbone

Max : « Bonjour à tous ! Enlevez vos blousons, asseyez vous et sortez vos affaires. »

Samuel et Léo : « Bonjour monsieur Max ! »

Max : « Bonjour mes petits 🙂 Commençons par le petit rappel. Samuel ? »

Samuel : « Oui monsieur Max. Nous avons vérifié qu’un être vivant prélève du dioxygène. Pour cela nous avons utilisé un oxymètre qui est un appareil qui mesure la quantité de dioxygène dans le milieu. Les résultats étaient donnés sous la forme d’un graphique. Nous l’avons lu puis commenté. Tout ça pour dire que l’être vivant prélève du dioxygène. »

Max : « Très bien Samuel. Léo, qu’allons nous faire maintenant ? »

Léo : « Nous allons vérifier qu’un être vivant rejette du dioxyde de carbone. Pour cela nous allons utiliser de l’eau de chaux. L’eau de chaux est un liquide incolore qui blanchit en présence de dioxyde de carbone. »

Max : « Bravo à tous les deux ! Nous avons donc une hypothèse et de l’eau de chaux. Proposez moi un protocole expérimental. »

Samuel : « On reprend la souris ? »

Max : « Non, aujourd’hui nous avons un hamster 🙂 »

Samuel : « C’est pareil. On le met dans une boîte fermée. Et il faut mettre l’eau de chaux dans la boite. »

Léo : « On ne peut pas la mettre comme ça ! Pauvre hamster ! Il serait tout mouillé ! »

Samuel : « Monsieur Max, c’est toxique l’eau de chaux ? »

Max : « Un peu. »

Samuel : « Alors il faut faire attention au hamster. »

Léo : « Il faudrait qu’il y en ait pas partout de l’eau de chaux. »

Samuel : « Mais que le dioxyde de carbone puisse y aller quand même… »

Léo : « Je sais ! On met l’eau de chaux dans un petit récipient ouvert dans le coin de la boite. Et on dit au hamster de ne pas le renverser. »

Samuel : « Tu parles le hamster toi ? »

Léo : « Ah non… Bon, on dit qu’il va être sage et qu’il va pas renverser le petit récipient contenant l’eau de chaux. »

Samuel : « Oui, il va être sage. Et il faut un témoin. »

Léo : « Une boite fermée avec un petit récipient contenant l’eau de chaux. »

Samuel : « Et puis on attend un peu pour voir si l’eau de chaux blanchit avec le hamster. »

Léo : « Que pensez-vous de notre protocole monsieur Max ? »

Max : « C’est exactement ce que j’attendais. Bravo encore une fois ! Je vous donne un document qui montre ce que vous venez de décrire. Et c’est après quelques minutes… »

Léo : « Monsieur Max, limpide c’est comme incolore ? »

Max : « Oui Léo. Et quand l’eau de chaux est troublée c’est qu’elle a blanchi. »

Samuel : « Alors les résultats sont simples à formuler. Dans le témoin, l’eau de chaux est restée incolore. Avec le hamster l’eau de chaux a blanchi. »

Max : « Oui Samuel. Léo, pourrais-tu interpréter ces résultats ? »

Léo : « Facile 🙂 Avec le hamster l’eau de chaux a blanchi car il a rejeté du dioxyde de carbone. »

Samuel : « Alors on sait qu’un être vivant prélève du dioxygène et rejette du dioxyde de carbone. Nous savons ce que c’est la respiration. »

Max : « Samuel, tu viens de formuler la conclusion de nos expériences. A vrai dire, il faudrait renouveler l’expérience avec des tas d’êtres vivants. Nous verrons d’autres exemples. Pour le moment, notons la correction de cette activité. »

Résultats :

Dans le témoin l’eau de chaux est restée incolore. Avec le hamster l’eau de chaux a blanchi.

Interprétation :

Avec le hamster l’eau de chaux a blanchi car elle a été en présence du dioxyde de carbone rejeté par le hamster.

Conclusion :

L’eau de chaux a été au contact du dioxyde de carbone rejeté par le hamster. L’hypothèse est validée. Un être vivant rejette du dioxyde de carbone.

Max : « Avez-vous des questions ? »

Samuel et Léo : « Non monsieur Max ! »

Max : « Alors nous pouvons faire le cours qui correspond à ces activités. Vous allez voir que c’est très simple. Mais pour cela, je vais prendre une autre page… »

La leçon

Prélever du dioxygène (suite)

Max : « Bonjour à tous ! Enlevez vos blousons, asseyez vous et sortez vos affaires. »

Samuel et Léo : « Bonjour monsieur Max ! »

Max : « Bonjour 🙂 Qui veux faire le petit rappel de début de séance ? »

Léo : « Moi monsieur Max ! Nous avons formulé une hypothèse sur la respiration. Nous avons supposé que respirer c’est prélever du dioxygène dans l’environnement et y rejeter du dioxyde de carbone. »

Max : « Très bien Léo. Samuel, veux-tu prendre la suite ? »

Samuel :  » Oui monsieur Max. Nous avons proposé un protocole pour vérifier une partie de l’hypothèse, le prélévement du dioxygène. Dois-je aller le dessiner au tableau ? »

Max : « Bonne idée Samuel. »

Samuel : « J’y vais de ce pas 🙂 »

Max : « Très bien Samuel ! Qu’allons nous faire maintenant ? »

Léo : « Nous en étions aux résultats. Vous nous les aviez donnés sous forme de graphiques. Et nous devions réviser la méthode de commentaire de graphique. »

Max : « Exact ! Je suppose que vous l’avez fait. Je vais le vérifier. Mais d’abord, je vous redonne les graphiques. »

Témoin Avec la souris

Max : « Qui veut rappeler ce qu’est un graphique ? »

Léo : « Moi monsieur Max ! Un graphique permet de représenter des données numériques. Il comporte un repère et une ou plusieurs courbes. »

Samuel : « Il faut d’abord étudier le repère. On regarde les grandeurs représentées sur les axes sans oublier les unités. Comme ça on peut donner une titre au graphique et on sait bien de quoi il parle. »

Léo : « Après avoir étudié le repère il faut étudier la courbe. On cherche de combien de parties elle est constituée puis on décrit les variations en utilisant le bon vocabulaire. »

Samuel : « Et sans oublier de donner des valeurs. »

Max : « Je vois que vous avez bien révisé ce qui ne m’étonne pas 🙂 Bien, appliquons cette méthode à nos deux graphiques. Samuel, veux-tu bien commencer ? »

Samuel : « Je veux bien 🙂 Les deux repères sont pareils. On aurait d’ailleurs pu mettre les  deux courbes sur le même graphique. Sur l’axe horizontal il y a le temps exprimé en minutes. Et sur l’axe vertical il y a la quantité de dioxygène exprimée en pourcents. Le titre de ces graphiques est donc : ‘Graphiques représentant les évolutions des quantités de dioxygène (en %) dans le témoin et avec une souris en fonction du temps (en minutes).' »

Max : « Très bien Samuel ! Léo, peux-tu prendre la suite ? »

Léo : « Je peux. Mais c’est trop facile ! Dans le témoin nous voyons que la quantité de dioxygène reste constante à 21%. Avec la souris, la quantité de dioxygène diminue en fonction du temps. Elle passe de 21% à 19,8% au bout de 5 minutes. »

Max : « Très bien Léo ! Nous avons donc terminé de formuler les résultats de notre expérience. Comment expliquez-vous ces résultats ? »

Samuel : « Vous voulez que nous interprétions les résultats ? »

Léo : « Ben oui Samuel ! Expliquer les résultats c’est les interpréter ! »

Samuel : « Je voulais vérifier pour être sûr ! »

Max : « Dites mes petits, je ne veux pas de chamailleries entre vous ! »

Léo : « Oui monsieur Max. »

Samuel : « On se chamaillait pas monsieur Max ! »

Max : « Samuel, comment interprètes-tu ces résultats ? »

Samuel : « Avec la souris la quantité de dioxygène diminue car la souris en prélève dans son environnement. »

Max : « Très bien ! Si vous n’avez pas de questions vous pouvez ranger vos affaires et sortir en récréation. »

Léo : « Monsieur Max, nous ne formulons pas la conclusion ? »

Max : « Non Léo. Souviens toi : notre hypothèse est en deux parties. Nous ne formulerons la conclusion que lorsque nous aurons vérifié la seconde partie de l’hypothèse. »

Léo : « D’accord monsieur Max. »

Max : « Je vous renote au tableau la correction de façon plus claire. »

Résultats :

Ce graphique représente l’évolution de la quantité de dioxygène avec ou sans souris (en %) en fonction du temps (en min).

Dans le témoin, on voit que la quantité de dioxygène reste constante à 21%. Avec la souris la quantité de dioxygène diminue de 21 à 19,8% en 5 minutes.

Interprétation :

Avec la souris la quantité de dioxygène diminue car la souris en a prélevé.

Max : « Bien. Rangez et sortez. Vous avez bien mérité votre récréation. Au revoir mes petits. »

Samuel et Léo : « Au revoir monsieur Max ! »

L’activité faite en classe est disponible ici : 5 3 Prélever du dioxygène

Séance suivante

L’environnement (correction de l’activité)

Max : « Bonjour à tous ! Enlevez vos blousons, asseyez vous et sortez vos affaires. »

Samuel et Léo : « Bonjour monsieur Max ! »

Max : « Mes chers petits ! Quel plaisir de vous retrouver 🙂 »

Samuel et Léo : « Merci monsieur Max ! »

Max : « Avez-vous fait l’exercice que je vous avais demandé ? »

Samuel et Léo : « Oui monsieur Max ! »

Max : « Alors nous allons corriger. »

Doc 2 Activité composantes de l’environnement Correction

Max : « Souvenez-vous : nous nous sommes demandé ce qu’il y a dans un environnement. Pouvons-nous répondre maintenant ? »

Léo : « Oui ! Moi monsieur ! »

Max : « Je t’écoute Léo. »

Léo : « Dans un environnement il y a : des composantes minérales, des êtres vivants et des objets techniques. »

Max : « Très bien Léo. Avez-vous des questions ? »

Samuel : « Monsieur Max, pourriez-vous expliquer ce que c’est qu’un objet technique ? »

Max : « Bien sûr Samuel. Un objet technique est un objet fabriqué par un animal pour répondre à un besoin. Pourriez-vous me donner des exemples s’il vous plaît ? »

Samuel : « Moi ! Il y a les nids, les toiles d’araignées… »

Léo : « Les terriers, les barrages des castors… »

Max : « Très bien. Nous pouvons rédiger le cours maintenant. Sortez vos cahiers et écrivez. »

Samuel : « Monsieur Max ! Nous n’avons pas donné les définitions de faune et de flore ! »

Max : « Exact Samuel. Nous les noterons directement dans le cours lors de la prochaine séance. Pour le moment, vous pouvez ranger vos affaires et filer en récréation.  »

Samuel et Léo : « Au revoir monsieur Max ! »

Max : « Au revoir mes petits. »

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L’environnement (activité)

L’environnement et ses composantes.

Max : « Bonjour à tous. Enlevez vos blousons, asseyez vous et sortez vos affaires. Je vois que vous êtes tous là. Nous pouvons commencer. Quelqu’un pourrait-il nous rappeler ce que nous avons vu lors de la séance précédente ? »

Léo : « Moi ! »

Max : « Léo nous t’écoutons. »

Léo : « Nous allons étudier les sciences de la vie et de la terre. On peut dire biologie et géologie. »

Max : « Bravo Léo. Vous souvenez-vous par quoi nous allons commencer notre année scolaire ? Samuel ? »

Samuel : « Nous allons étudier l’environnement. »

Max : « Oui Samuel. Savez-vous ce qu’est l’environnement ? »

Samuel : « L’environnement c’est tout ce qui nous entoure. »

Max : « Très bien. Avez-vous des exemples d’environnements ? »

Léo : « Il y a le collège, la forêt, la plage, la montagne… »

Samuel : « La ville, les bords des étangs, les marais… »

Max :  « Bravo ! Pourriez-vous me dire lesquels nous n’étudierons pas ensemble ? »

Samuel : « Le collège et la ville ! »

Max : « Peux-tu t’expliquer Samuel ? »

Samuel : « Ils ne sont pas naturels. C’est l’Homme qui les a construits. »

Max : « Très bien. Nous étudierons les environnements naturels. »

Léo : « Monsieur Max, comment on distingue les environnements naturels des environnements artificiels s’il vous plaît ? »

Max : « Bonne question Léo. Mais j’y répondrai plus tard. Pour le moment, nous allons nous demander ce qu’on peut trouver dans un environnement. Quel exemple voulez-vous étudier ? »

Samuel : « J’aime bien les mares. »

Max : « Alors étudions les mares. Je vais vous distribuer des documents et vous montrer quelques photographies. Ensuite je vous poserai quelques questions… »

Dessin d’une mare et de quelques êtres vivants qui la peuplent.

Max : « Avez-vous tous le document ? Oui ? Alors je peux vous montrer les photographies. Soyez bien attentifs s’il vous plaît. »

Canard colvert mâle
Canard colvert femelle et ses petits
Martin-pêcheur d’Europe
Martin-pêcheur d’Europe
Massette
Nénuphar blanc
Une coquille d’anodonte des cygnes
La coquille d’anodonte des cygnes est constituée de deux valves.
Limnée
Élodée du Canada
Dytique
Grenouille rieuse
Têtard de grenouille rieuse
Rainette méridionale
Poule d’eau adulte
Poule d’eau juvénile
Héron cendré
Héron cendré
Iris des marais

Max : « Maintenant je vous distribue un autre document. Il reprend ce que je vous ai montré. »

Doc 2 Activité composantes de l’environnement

Max : « Dans ce document il y a quelques questions. Je vous laisse les lire. Évidemment je suis à votre disposition si vous avez des questions. »

Léo : « Zutalor ! La sonnerie ! »

Samuel : « On a même pas terminé ! »

Max : « Alors vous finirez ce travail à la maison pour la prochaine fois. Rangez vos affaires et sortez en récréation. »

Léo : « D’accord monsieur Max. »

Samuel : « Au revoir monsieur Max ! »

Max : « Au revoir mes petits 🙂 Travaillez bien 🙂 »

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